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Guédelon ou le château de Guédelon est un chantier médiéval de construction historique d'un château fort, débuté en 1997, selon les techniques et les matériaux utilisés au Moyen Âge. Ce projet architectural situé à Treigny dans l'Yonne, dans une ancienne carrière désaffectée au centre d'une forêt et proche d'un étang, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest d'Auxerre, vise à améliorer les connaissances en castellologie.
Objectif
La méthode de construction est celle des châteaux de l'époque médiévale construits au xiiie siècle (plus exactement entre la fin du xiie siècle jusqu'au début xive siècle, en cohérence avec le type d'architecture philippienne), en partant d'un site vierge et en utilisant uniquement des techniques de l'époque telles qu'elles étaient connues en Puisaye dans l'Yonne. Le projet de Guédelon est notamment de permettre à l'archéologie expérimentale médiévale l'analyse complète d'un chantier de construction sur le long terme et ainsi d'aller au-delà d'une expérience ponctuelle sur des objets ou des opérations isolées. Dans ce souci du détail, l'utilisation de produits industrialisés est réduit au strict nécessaire, notamment pour des questions de sécurité, au contraire l'usage des radios, de canettes, des montres est prohibé sur le chantier, tandis les fumeurs doivent faire preuve de discrétion. Le chantier a pris pour parti de faire du château la propriété fictive d'un seigneur de bas rang dénommé Guilbert Courtenay, ou Guilbert de Guédelon, avec une date de démarrage fictive du chantier en 1229. Ce parti pris vise à rendre réaliste historiquement la taille du château en justifiant l'absence de pont dormant, de douves, de prison, d'oubliettes mais la présence d'un donjon, d'une chapelle, d'une chambre seigneuriale et d'un moulin hydraulique.
Le château de Guédelon en mai 2014
La définition d'une époque, le milieu du xiiie siècle, et la mise en scène d'une stratégie de déroulement ont donné au chantier sa vraie dimension. Déjà en cela, parce que la part d'improvisation provoque d'inévitables « remords de constructeur », l'entreprise est représentative du cheminement médiéval. Le maître d'ouvrage et le maître d'œuvre savent qu'à chaque étape vont surgir des problèmes inédits. Non seulement cela n'a rien d'étonnant, mais c'est l'intérêt d'un tel ouvrage. Et le mérite est d'être à l'affût, de guetter comme une promesse, chaque complication ou contrariété, parce qu'elle fait partie de la raison d'être du chantier de Guédelon. Guédelon n'est pas au premier chef un lieu pour faire des démonstrations d'outils et d'habileté artisanale. Bien sûr, il est aussi cela, et bien plus encore puisqu'il se veut un instrument éducatif, un lieu pour faire réfléchir autant que d'intéresser à des professions. Mais en fin de compte, il ne s'agit pas tant de construire un château fort que d'expérimenter, de redécouvrir, de vérifier et de trouver des réponses au parcours d'obstacles d'une telle tentative.
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Ce film réalisé juste après la seconde guerre mondiale raconte la résistance acharnée des cheminots pendant la guerre. Ce film et un vrai régal en ce qui concerne le matériel car tout est d'époque; il constitue donc une bonne base de données de locos et de bâtiments ferroviaires.
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Les transformations de Paris sous le Second Empire ou travaux haussmanniens constituent une modernisation d'ensemble de la capitale française menée à bien de 1852 à 1870 par Napoléon III et le préfet Haussmann.
Le projet a couvert tous les domaines de l'urbanisme, aussi bien au cœur de Paris que dans ses quartiers extérieurs : rues et boulevards, réglementation des façades, espaces verts, mobilier urbain,égouts et réseaux d'adduction d'eau, équipements et monuments publics.
Violemment critiquée par certains de ses contemporains pour son coût faramineux et pour avoir réduit la mixité sociale, oubliée pendant une partie du xxe siècle puis réhabilitée par le discrédit de l'urbanisme d'après-guerre, cette œuvre conditionne toujours l'usage quotidien de la ville par ses habitants. Elle a posé le fondement de la représentation populaire de la capitale française à travers le monde en superposant au vieux Paris et à ses ruelles pittoresques un Paris moderne fait de grands boulevards et de places dégagées.
1852 : un empereur moderniste et décidé face à une capitale médiévale
Au milieu du xixe siècle, le centre de Paris, contrairement aux idées reçues, n'est plus une cité du Moyen Âge. Paris s'est toujours reconstruit sur lui-même, mais il est vrai que la croissance démographique de la capitale, au xviiie siècle et dans les premières décennies du xixe siècle, provoque une densification considérable des quartiers du centre, c'est-à-dire les quartiers situés à l'intérieur de l'ancienne enceinte de Charles V rectifiée sous Louis XIII. Un lacis de rues étroites gêne la circulation (en 1851 à Paris, il y a 60 259 voitures et la longueur de toutes les rues de la ville réunies atteint 500 kilomètres) et les maisons accueillent une population pauvre de plus en plus nombreuse, à l'origine d'une insalubrité dénoncée par les hygiénistes. Selon les idées de l'époque, l'étroitesse des rues et la hauteur des maisons empêchent la circulation de l'air et la dispersion des « miasmes » porteurs de maladies et de mort. Les classes riches tendent de plus en plus à quitter ces quartiers pour s'installer au large dans les faubourgs du nord et de l'ouest. C'est à ce processus de paupérisation du centre, avec la dangerosité politique qui l'accompagne, que, fondamentalement, les grands travaux du xixe siècle vont s'attaquer.
Louis-Napoléon Bonaparte
Président de la République depuis 1848, le neveu de Napoléon Ier devient empereur le 2 décembre 1852 après le coup d'État de l'année précédente.
Napoléon III a la volonté de moderniser Paris. Ayant vécu à Londres de 1846 à 1848, il y a vu une grande capitale pourvue de grands parcs et de réseaux d'assainissements et un pays transformé par la Révolution industrielle. Il reprend les idées de Rambuteau. Sensible aux questions sociales, il veut améliorer les conditions de logement des classes pauvres : en 1860, la densité moyenne de population de Paris avant son agrandissement est d'environ 36 400 personnes au kilomètre carré, tandis que dix ans plus tôt celle du quartier des Halles approchait déjà les 100 000 personnes au kilomètre carré , dans des conditions d'hygiène très précaires. Cependant, s'il n'est pas toujours prévu de solution pour accueillir les familles délogées par les grands travaux, qui doivent aller habiter la périphérie de la ville, Louis-Napoléon est à l'origine de la construction des 86 premiers logements sociaux de Paris à la cité Rochechouart en 1851 qu'il fait financer par le sous-comptoir du commerce et de l'industrie pour le bâtiment afin de pallier la défaillance du conseil municipal de Paris. Suivant ces mêmes principes inspirés par les phalanstères de Charles Fourier et par l'Icarie d'Étienne Cabet, il dessine lui-même le plan d'un ensemble de 41 pavillons destinés à l'usage des classes ouvrières situés avenue Daumesnil et qui seront présentés à l'Exposition Universelle de 1867. Enfin, il s'agit pour l'autorité publique de mieux contrôler une capitale dont les soulèvements populaires ont renversé plusieurs régimes depuis 1789. Des propriétaires eux-mêmes, soucieux aussi de la mise en valeur de leurs propriétés et de leur quartier, réclament des voies larges et droites afin de faciliter les déplacements de troupes.
Le Marais (Hôtel de Sens), l'un des rares quartiers du centre presque entièrement épargnés par les travaux d'Haussmann
Pour mettre en œuvre ces ambitions, le nouvel empereur dispose d'un pouvoir fort, capable de passer outre toutes les résistances, ce qui manquait à ses prédécesseurs. Il reste à Napoléon III à trouver un homme capable de diriger des opérations de grande ampleur. C'est le rôle que va remplir Georges Eugène Haussmann, homme d'action rigoureux et organisé, qu'il nomme préfet de la Seine en juin 1853 avec pour mission « d'aérer, unifier et embellir la ville ». Les deux hommes formeront un tandem efficace. L'empereur soutiendra le préfet contre ses adversaires jusqu'en 1870. Haussmann, quant à lui, se montrera fidèle en toute circonstance, tout en sachant faire avancer ses propres idées, comme le projet du boulevard Saint-Germain. Une œuvre aussi considérable demande l'intervention de nombreux acteurs. Victor de Persigny, ministre de l'Intérieur, qui a présenté Haussmann à Napoléon, s'occupe des montages financiers avec l'aide des frères Pereire. Jean-Charles Alphand s'occupe des parcs et des plantations avec le jardinier Jean-Pierre Barillet-Deschamps. Haussmann souligne le rôle fondamental du service du Plan de Paris, dirigé par l'architecte Deschamps, qui trace les nouvelles voies et contrôle le respect des règles de construction : dans ce domaine, « la géométrie et le dessin graphique jouent un rôle plus important que l'architecture proprement dite », note Haussmann. D'autres architectes participent aux travaux : Victor Baltard aux Halles, Théodore Ballu pour l'église de la Sainte-Trinité, Gabriel Davioud pour les théâtres de la place du Châtelet, le vétéran Hittorff pour la gare du Nord et la place de l'Etoile.
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La Ferme des sept péchés est un film français réalisé par Jean Devaivre, sorti en 1949. Synopsis
Une enquête sous forme de témoignages de ceux qui ont connu Paul-Louis Courier, journaliste républicain, assassiné en 1825
Fiche technique
* Titre : La Ferme des sept péchés * Titre anglais : The Farm of Seven Sins * Réalisation : Jean-Devaivre * Scénario : Janine Grégoire, René Méjean et Jean-Devaivre * Musique : Joseph Kosma * Photographie : Lucien Joulin * Pays d'origine : France * Format : Son mono - Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 * Genre : Film dramatique * Durée : 100 minutes * Production : Films Neptune (production Jean-Devaivre) * Date de sortie : 16-09-1949
À noter : le titre initial, Assassinat par souscription, a été refusé par les distributeurs de l'époque comme peu commercial
Distribution
* Jacques Dumesnil : Paul-Louis Courier * Claude Génia : Herminie * Aimé Clariond : le Marquis de Siblas * Pierre Renoir : le procureur * Alfred Adam : Symphorien Dubois * Georges Grey : Pierre Dubois * Palau : le juge d'instruction * Arthur Devère : Frémont * Héléna Manson : Michèle Frémont, dite « La Michel » * Jacques Dufilho : François Sovignant * René Génin : le maire d'Azay * Jean Vilar : l'homme gris/Grey man * Georges Bever : le maire de Luynes * Jean Marchan : Guillaume
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Le Sang des bêtes est un film documentaire de Georges Franju sorti en 1949. Montrant la mort des animaux dans les abattoirs parisiens de la Villette et de Vaugirard, ce film vériste est un des documentaires les plus directs sur cet univers de travail.
Fiche technique
* Titre : Le Sang des bêtes * Réalisation : Georges Franju * Scénario : Georges Franju * Commentaire : Jean Painlevé, dit par Georges Hubert et Nicole Ladmiral * Production : Forces et Voix de France * Photographie : Marcel Fradetal * Musique : Joseph Kosma * Montage : André Joseph * Pays d'origine : France * Format : Noir et blanc - 35 mm * Genre : Documentaire * Durée : 21 minutes * Date de sortie : 1949 * Visa d'exploitation : 9126
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